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Avec 120 000 cas dont 40 000 décès par an en France, l’infarctus du myocarde fait partie des maladies cardiovasculaires les plus fréquentes. Il est donc important d’en connaître les symptômes, des plus typiques au moins soupçonnés, pour être pris en charge rapidement en cas d’attaque et ainsi améliorer le pronostic. La liste avec le docteur Patrick Assyag, cardiologue et vice-président de la Fédération Française de Cardiologie.
L'infarctus du myocarde, le resultat de l'obstruction des arteres du coeur
7 millions : c’est le nombre de décès par maladie cardiovasculaire recensés chaque année dans le monde (1). Parmi les plus fréquentes, on retrouve l’infarctus du myocarde, plus communément appelé crise cardiaque. Mais qu’est-ce que cela signifie exactement ? Le docteur Patrick Assyag, cardiologue, explique que l’infarctus désigne "l’obstruction d’une ou de plusieurs artères coronaires, qui sont les artères nourricières du cœur". Celui-ci n’est donc plus approvisionné en sang et en oxygène.
Douleur thoracique ou nausées : des symptômes typiques et atypiques à connaitre…
La douleur au cœur est sans doute le premier symptôme qui vient à l’esprit lorsque l’on mentionne l’infarctus du myocarde. Et en effet, elle serait présente dans environ 90% des cas. Il s’agit plus particulièrement d’une "douleur rétrosternale, c’est-à-dire derrière le sternum, et qui peut irradier jusqu’au bras gauche et à la mâchoire", explique le Dr Patrick Assyag. Des symptômes plus atypiques peuvent également apparaitre, tels qu’une "douleur dorsale, des douleurs digestives, une douleur uniquement au niveau de la mâchoire ou uniquement au niveau du bras gauche".
Mais cette symptomatologie est surtout observée chez les hommes ; en effet, les femmes peuvent présenter des signes encore plus particuliers, comme "des nausées, des sueurs, une grande fatigabilité, un malaise lipothymique" ainsi qu’un essoufflement.
A noter : si les hommes âgés entre 45 et 65 ans sont les plus touchés, on observe depuis ces dix dernières années une hausse de l’ordre de 25% des cas d’infarctus chez la femme jeune(non ménopausée). Un phénomène qui pourrait s’expliquer par un plus grand cumul des facteurs de risque, notamment "le tabac, la surcharge pondérale et le stress", précise le cardiologue.
...car trop souvent négligés
Si la crise cardiaque est un évènement soudain, ses signes avant-coureurs peuvent se manifester de façon atténuée des heures, des jours voire des semaines avant. Ceci, ajouté à leur caractère éventuellement atypique, peut amener le sujet à négliger la situation et donc à se mettre en danger. "Au moment de la crise, les symptômes sont beaucoup plus importants, ce qui incite à consulter rapidement, explique le Dr Assyag. Mais avant ça, il peut y avoir des symptômes bâtards qui, petit à petit, vont soit se prolonger, soit s’accentuer, ce qui doit également pousser à consulter." Au risque sinon de "retarder le diagnostic et d’aggraver le pronostic. Il reste encore trop d’infarctus qui sont vus tardivement", déplore le cardiologue.
A noter : on pense, à tort, que les femmes jeunes ne font pas d’infarctus car elles sont protégées par leur statut hormonal. S’il est vrai qu’avant la ménopause, leurs taux élevés d’œstrogènes réduisent leurs risques de maladies cardiovasculaires, une mauvaise hygiène de vie peut, au contraire, les augmenter. La méconnaissance des risques chez ces sujets pousse à négliger les symptômes et donc à retarder la prise en charge : on estime qu’une femme qui fait un infarctus a un retard de prise en charge allant de 30 minutes à une heure par rapport à l’homme, ce qui peut avoir des conséquences dramatiques.
Une crise cardiaque sans symptôme ? Le cas de l’infarctus silencieux
Dans la majorité des cas d’infarctus, la présence de symptômes plus ou moins typiques permettent donc de mettre la puce à l’oreille. Mais selon l’Inserm (2), ¼ des crises cardiaques passeraient inaperçus en raison de l’absence de signes d’alerte : c’est ce que l’on appelle l’infarctus silencieux ou l’infarctus asymptomatique. "On l’observe souvent chez les personnes diabétiques, précise le Dr Assyag, car elles ont des douleurs très atténuées." Une perception moindre des symptômes qui peut être due à une complication du diabète : en effet, la neuropathie diabétique est une pathologie qui atteint les nerfs de l’organisme et "perturbe considérablement la sensibilité à la douleur", explique la Fédération Française des Diabétiques (3).
Alors, comment peut-il être détecté ? "A l’occasion d’un électrocardiogramme, explique le cardiologue. On découvre qu’il y a un tracé pathologique qui va conduire immédiatement à prendre en charge le patient." D’où l’importance d’un suivi cardiologique régulier chez les personnes à risque.
Infarctus : agir vite pour améliorer le pronostic
Peu importe sa forme : l’infarctus constitue une urgence vitale puisque 10% des victimes en meurent dans l’heure. En cas d’observation de symptômes plus ou moins clairs, il n’y a qu’une seule chose à faire : "appeler immédiatement le 15, affirme le Dr Assyag. Dans l’idéal, la prise en charge doit se faire dans l’heure et demi", pour limiter la destruction des cellules cardiaques et les complications qui y sont liées et améliorer le pronostic.
"Un électrocardiogramme et un dosage de troponine (ensemble de protéines présentes dans les muscles et le cœur) seront réalisés afin de confirmer l’infarctus, puis une coronarographieen unité de soins intensifs coronariens dans un hôpital ou une clinique pour dilater l’artère ou les artères touchée(s). On pose ensuite un stent", un petit ressort qui permet de maintenir l’artère ouverte. "L’intervention dure entre 30 minutes et 1h30. Le patient se repose entre 12 et 24 heures, et si tout se passe bien, il ressort au bout de 48 à 72 heures."
Mais la prise en charge ne s’arrête pas là, car les risques de récidive et de complications sont bel et bien présents. Afin de les réduire, un traitement médicamenteux, des mesures hygiéno-diététiques et un suivi médical régulier doivent impérativement être mis en place.
"Après l’infarctus, le patient va sortir avec plusieurs médicaments dont les principaux sont deux antiagrégants plaquettaires et une statine, explique le Dr Assyag.Un inhibiteur de l’enzyme de conversion sera également prescrit, pour remodeler le cœur. Un bêtabloquant peut aussi être prescrit si la fonction du cœur est altérée. Dans un second temps, on lui demandera d’arrêter de fumer, de contrôler son cholestérol, sa tension artérielle et son diabète. On lui proposera de manger le plus sainement possible : l’alimentation doit être équilibrée et le régime pauvre en sel, en sucre et en graisse. Par ailleurs, il convient de pratiquer une activité physique régulière et adaptée." Enfin, si la rééducation cardiaque est préconisée, les patients sont peu nombreux à suivre les séances : "il n’y a que 20% d’entre eux qui passent en réadaptation", déplore le cardiologue.
https://www.medisite.fr/infarctus-comment-detecter-un-debut-dinfarctus.5494936.714176.html?page=0%2C5
La maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. Plus tôt vous recevrez un traitement, meilleur sera votre résultat. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l’herpès, Tasha Moore, témoignant à propos de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center.J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de la médecine je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de brevet d'invention du VIH, je suis guéri et libre d'Arv Pills. Je lui en serai toujours reconnaissant. Drituaherbalcenter .Ici son numéro de contact +234 8149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Virus, Cancer, Virus de l'herpès, Maladie de Lyme, Épilepsie, Cancer de la vessie, Cancer colorectal, Cancer du rein, Cancer du rein, Leucémie, Cancer du poumon, Lymphome non hodgkinien, Peau Cancer, Lupus, Cancer utérin, Cancer de la prostate, Fibromyalgie, SLA, Hépatite, CTPD, Maladie de Parkinson. Maladie génétique, Fibrodysplasie, Fibrodysplasie évolutive, Syndrome de toxicité pour la fluoroquinolone, Syndrome de toxicité du foie / du rein, Inflammation des hommes et des femmes, Maladie , Diabète, fibromes ...
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