Le 28 février, Ivan Dedov, directeur du Centre russe d’endocrinologie, et Patrick Aganiane, directeur général de Sanofi en Russie, ont signé un accord qui vise à mener un projet épidémiologique commun relatif au diagnostic et au traitement du diabète sucré en Russie. La signature a eu lieu en présence des chefs d’Etat russe et français, Vladimir Poutine et François Hollande.
Le diabète sucré est une maladie chronique largement répandue due à une insuffisance de la production d’insuline ou à une activité biologique réduite de cette hormone. Il peut provoquer des lésions graves, voire une insuffisance du cœur, du cerveau, des reins et des rétines.
« Le registre gouvernemental du 1er janvier 2012 fait état de 3,5 millions de cas de diabète sucré en Russie. Notre bilan révèle un total 3 à 4 fois plus élevé. Cette recherche épidémiologique commune contribuera significativement au développement de l’endocrinologie russe », a fait savoir Ivan Dedov, de l’Académie russe des sciences et des sciences médicales, endocrinologue général du ministère de la Santé russe et directeur du Centre scientifique d’endocrinologie.
La santé des patients est inextricablement liée au dépistage de la maladie à un stade précoce, à une bonne information des sujets et aux possibilités de bénéficier d’un suivi de qualité. Un dosage adéquat des médicaments, y compris de l’insuline, est le pilier d’un traitement visant à éviter toutes lésions graves.
« Le diabète sucré est une réelle épidémie à l’heure actuelle. Il figure parmi les priorités de Sanofi. Notre société élabore et fabrique depuis 90 ans des médicaments innovants pour soigner cette maladie. En tant que premier producteur d’insulines de qualité dans la région d’Oriol, Sanofi s’efforce de satisfaire au mieux les besoins des patients atteints de diabète sucré en Russie. Nous sommes heureux de collaborer avec le Centre scientifique d’endocrinologie dans ce projet de taille », a déclaré Patrick Aganiane, directeur général de Sanofi en Russie et responsable de la région eurasienne.
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